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il y a 1 an
Chapitre 62 : Surprises sans fin
Cette fois, je décidai de rester plus concentré sur mon travail, pour aller plus vite. Je ne voulais pas subir quatre fois de plus ce que j’avais vécu. Je ne le pourrai d’ailleurs pas.
Mais c’était peine perdue. Ces hommes savaient manier leurs mains et me procuraient des sensations d’excitations et de plaisir. Ils prirent moins de temps à s’activer, connaissaient mes points sensibles, ceux qui m’avaient fait le plus vibré. Et si, par la grâce de Dieu, j’arrivai à reprendre, pendant quelques secondes de trop, le contrôle de moi-même, c’étaient Lady Christine et Maîtresse Diane qui pianotaient une nouvelle mélopée sur leur télécommande, remuant les fils invisibles du pantin que j’étais devenu.
A travers la vitre, je vis même cette dernière reproduire mes gestes de ses doigts et de sa langue. Ceux qui l’avaient mise en transe, ceux que je lui avais rappelés durant la soirée. Elles non plus ne me donneraient aucun répit.
J’arrivai à la troisième fenêtre, la dernière donnant sur le côté du parc. Les hommes échangèrent leur place. A huit, ils n’avaient pas eu les mêmes facilités d’accès à mon corps. L’homme d’aspect nordique se plaça sous l’échelle et glissa sa tête entre deux barreaux. Il me happa les boules alors que je n’étais monté que d’un échelon, me les relâchant pour recommencer à la marche suivante, gérant le rythme de ma montée.
Lady Christine, trouvant la position cocasse, poussa la vibration de la cage sur une sinusoïde alternant douleur et plaisir. Un cri sortit par mon bâillon ouvert, une sorte de râle extatique. Il n’en fallut pas plus pour encourager un peu plus les autres hommes à m’embrasser le corps. Deux d’entre eux, le latin et l’asiatique, en face de mes tétons, ne se génèrent pas pour attraper et sucer ce qui dépassaient des pinces. Leur langue serait bien surprise si Maîtresse Diane leur lançait maintenant une vibration.
Je la regardai par la fenêtre, l’incitant à les repousser, tant ces derniers, au vu du peu de surface qui leur restait, s’acharnaient plus à mes les mordre. Elle fit non de la tête, affichant un sourire qui exprimait la compréhension parfaite de la situation.
Une main attrapa mon plug et l’usa comme un gode, le poussant, le tirant en mouvements réguliers. Une inquiétude me passa. Et s’il me l’enlevait, s’ils voulaient aller plus loin ? Etais-je prêt ? Malgré le froid, la transpiration qui me coulait du front m’indiquait que oui, mais mon esprit continuait à me hurler non. J’accédais enfin au sixième échelon pour n’y donner que quelques mouvements couvrant la largeur de la fenêtre. Je redescendis rapidement laissant une vitre humide et presque opaque.
Je tournai au coin de la maison pour m’affairer aux deux dernières fenêtres. J’arrivai sur le fronton de la maison par où nous avions accédé hier. Cela me paraissait tellement loin. Les voitures garées n’étaient pas de celles que je pourrais m’acheter un jour, même avec mon futur salaire. Toutes des marques de luxe, sauf une que je conclus être celle de Ladyscar, avec laquelle nous étions arrivé hier.
Alors que mes prétendants amenaient mon échelle, Lisa m’appela.
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Ce sera tout, dit-elle aux serviteurs.
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On a à peine pu en profiter ! se plaignit le géant mexicain avec grivoiserie.
Lisa se dirigea vers lui et parla à son oreille. Ce qu’elle lui dit lui fit plaisir. Son sourire s’élargit, proportionné à son physique hors norme, il se déploya sur toute sa face en me regardant.
Il colportait de bouche à oreille cette information. Mes fesses se contractèrent sur le plug, le repositionnant. Sans savoir de ce qu’il s’agissait, je savais que cela ne pouvait être aussi positif pour eux, sans m’impliquer totalement et à l’inverse.
Il fallait que j’en parle à Ladyscar. Je n’étais pas prêt pour participer à des actes homosexuels. Maintenant que leur présence s’éloignait de moi, que les vibrations artificielles s’étaient interrompues, ma répugnance pour la gent masculine me revenait, proportionnelle à la distance me séparant d’eux.
Lisa attrapa ma laisse et m’attira à la porte principale. J’eus juste le temps de voir un vélo électrique, posé sur sa béquille entre deux des voitures. Il ne m’était pas inconnu, mais à nouveau mon cerveau me trahit, submergé par l’adrénaline.
Tiré par la laisse, je ne devais me concentrer que sur mon déplacement. L’escalier d’accès était ancien et ses marches imposantes. Je ne les voyais pas si imposante hier, même si j’avais été masqué, me rappelant aussi que j’étais pieds nus et sans chaîne. Je progressai lentement. Ce n’était pas du goût de Lisa qui paraissait avoir froid. Que devais-je dire dans les sous-vêtements dont j’étais attifé ? Sûr que je m’étais enrhumé. Cette nuit, il ne faudrait pas que je dorme en position attachée.
Rentrer dans la demeure me fit du bien. Dehors j’étais trop mâle, plaisantai-je intérieurement. J’avouai que je retrouvais avec confort mes maîtresses et leur soumis. Lisa m’accompagna jusqu’au salon. Cela lui plaisait de me tenir en laisse.
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Juste à temps pour ta surprise, dit Lady Christine.
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Tu avais l’air d’être bien entourée ma petite salope. Tu n’avais pas l’air à l’aise avec tous ces hommes. C’est parce que tu es encore pucelle ? me demanda Maîtresse Diane.
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Je n’aime pas les hommes, lui répondis-je.
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Ce n’est pas ce que tu m’as avoué hier, moucharda Ladyscar. Quand tu me parlais de ton voisin homosexuel et de son copain le gorille, que tu voulais qu’ils te prennent, qu’ils te violent.
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Allonge ton ventre sur la table ! ordonna Tata Marguerite.
Sa voix était suave, féminine, sexy, comme si un parfum envouteur l’accompagnait. Cette voix convenait parfaitement à son physique. Je m’exécutai, heureux de ne pas devoir retourner dehors dans le froid et surtout au milieu de ces mâles. Elle tenait dans sa main une cravache et j’attendais ma punition, probablement imméritée.
Ben et Nathan m’attachèrent les chevilles aux pieds de la table. J’attendais maintenant que l’on m’enlève mes chaines, délivre mes poignets pour les attacher de l’autre côté de la table, mais rien ne vint. Ils restèrent immanquablement attachés au niveau de mon ventre.
- Allonge-toi ! m’ordonna pour la seconde fois Tata Marguerite.
Je posais mon ventre, mes bras le long du corps, descendant mes mains attachées sous la table pour ne pas me gêner. Elle était presque au niveau de mon sexe et de la cage. La position était inconfortable, comme une grenouille, les avant-bras repliés. Ben m’accrocha finalement les menottes de mes poignets à l’anneau sous la table, bloquant ainsi la partie basse de mon corps. Les quatre Maîtresses prirent ensuite position autour de moi, alors que je sentais la main de Ben qui me caressait au passage mes couilles. Je ne dis rien.
J’avais encore les marques de la veille et je sentais jouissif, l’instant où elles décideraient de m’en ajouter de nouvelles. Nathan passa devant. Il tira sur la chainette qui reliait les pinces de mes tétons et l’attacha à une corde, reliée sous la table à probablement un second anneau symétrique du premier.
La table n’était pas longue, mais assez haute, correspondant plus à son utilisation qu’elles en faisaient qu’à une véritable table de salon. La cravache se déplaça sur mon corps, animée par cette nouvelle dominatrice, mais sans me frapper. Lady Christine me fit lever ma tête en tirant sur une de mes couettes.
- Regarde ! dit-elle, me montrant Maîtresse Diane sortir depuis le salon vers la salle à manger. Nous avons un invité qui souhaitait te saluer.
Maîtresse Diane revenait en effet avec quelqu’un. Mais j’en restais bouche bée en voyant de qui il s’agissait.
Là c'est pas trop dur, devinez qui vient diner ce midi ? | |
Ha ha ! Nathalie va participer aux fessestivités ? | |
Le voisin 😋 | |
Prochain chapitre sur https://fessestivites.com/recit/198128 |
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